Conférencier : André Gunthert
Support de l’empathie religieuse ou de l’allégorie historique, l’imagerie victimaire connaît un important renouvellement au début du XXe siècle, encouragée par la communication des organisations humanitaires, sociales ou caritatives. Jouant sur le plan rapproché, cinéma et photographie explorent l’espace de l’expression faciale, et appliquent jusque sur le terrain du reportage les recettes compassionnelles.